Sortir d'un monde formaté Bienvenue dans le chapitre de la désobéissance. Ici, il n’est plus question de séduire ou de convaincre. Il est question de s’approprier le droit de créer — sans justification, sans compromis, sans filtre, pour sortir d'un monde formaté.

Arson, avec ses sculptures semble surgir d’un monde où le corps féminin n’est jamais décoratif, mais chargé, conscient, résistant. Chaque forme est une déclaration physique, chaque association avec un objet devient un acte symbolique.

Une dette publique sous influence privée Chaque année, des milliards d’euros sont versés en intérêts à des créanciers privés, qui s'enrichissent sur le dos des peuples. La France est notée par des agences comme Fitch, Moody’s ou Standard & Poor’s, qui influencent directement le coût de notre dette. Une dégradation de notre note entraîne une hausse des taux, alourdit le fardeau budgétaire et limite notre marge de manœuvre politique. Ce système a déjà précipité des crises maje

Les sculptures pop d’Arson sont des bonbons visuels : résines éclatantes, courbes gourmandes, textures ludiques. On y croise des glaces sexy en maillot, des bonbons géants, des formes qui évoquent autant l’enfance que le désir. Mais ne vous y trompez pas : sous le vernis coloré, c’est une satire qui s’exprime. Chaque excès est une déclaration, chaque creux une provocation.

De la provocation à la proposition L’histoire de l’art a toujours flirté avec le scandale : Gustave Courbet expose L’origine du monde en 1866 — une toile qui ne dit pas bonjour. Marcel Duchamp signe un urinoir en 1917 : l’art bascule dans l’absurde. Dans cette lignée, Arson sculpte des volumes qui ne demandent pas l’autorisation. Ses œuvres dérangent parce qu’elles disent tout haut ce quelles disent tout haut ce qu’on préfère laisser bas. Chaque fesse sculptée, chaqu

Le luxe de l'Art se trouve dans le temps et l’attention qu’on accepte de lui accorder, dans la capacité à rêver, à réfléchir, à se laisser emporter. Si l’on n’a pas cette ouverture à l’imaginaire ou à la pensée, alors, sans doute, l’art n’est pas fait pour soi.

Son « règne », est marqué par une série de dysfonctionnements : la désindustrialisation, illustrée par la vente controversée d’Alstom à General Electric, perçue comme un bradage d’un fleuron national, comme beaucoup d'autres se livrant à un véritable "dépeçage" des forces économiques et souveraines Françaises (décrit et dénoncé par Olivier Marleix dans son livre) ; des tensions sociales exacerbées par la crise des Gilets Jaunes et des réformes des retraites, qui ont divisé

Avec son intrigue haletante et ses multiples rebondissements, "Sur le cœur" est un candidat idéal pour #UneAdaptation en #série ou en #film. Les histoires entrelacées et les thèmes universels offrent une richesse narrative qui peut être exploitée pour créer une #SérieASuccès ou un film marquant.