Il est temps de demander des comptes : les Français seuls face à l’insécurité
- Arson .
- il y a 1 jour
- 4 min de lecture
Chaque drame est un appel à l’action : renforcer la sécurité dans les écoles, les hôpitaux, les rues.
Il est temps de rendre responsables les juges, les politiciens (Minsitres, présidents, députés, sénateurs, conseillers en conseils inutiles, hauts fonctionnaires, les "sages" du Conseil "constitutionnel", tous payés grassement par l'argent du peuple. Tout ce monde doit rendre des comptes sur leurs décisions catastrophiques!
La France traverse une période sombre, marquée par une série de drames qui secouent le pays et laissent les citoyens dans l’angoisse. Depuis 2017, les attaques au couteau, égorgements, enlèvements et meurtres se succèdent, endeuillant des familles et révélant des failles et des lâchetés dans la gestion de la sécurité publique et de la justice. Face à cette réalité, une question brûle les lèvres : qui est responsable ? Les juges, les politiciens, les hauts fonctionnaires, les élus de tous bords – tous payés par l’argent public – doivent-ils continuer à échapper aux conséquences de leurs décisions ? Il est temps d’exiger des comptes.
Insécurité, une liste tragique qui s’allonge de victimes de politiciens et juges, coupables de laxisme, de lachetés et de désintérêt des Français.
Depuis janvier 2017, la France a été le théâtre de nombreux drames violents. Voici quelques noms qui résonnent comme autant de symboles d’une insécurité croissante :
Laura Paumier (1 octobre 2017, Marseille) : Attaque au couteau mortelle.
Mauranne Harel (1 octobre 2017, Marseille) : Attaque au couteau mortelle.
Xavier Jugelé (20 avril 2017, Paris) : Meurtre par arme à feu.
Mireille Knoll (23 mars 2018, Paris) : Meurtre, attaque au couteau mortelle.
Damien Ernest (3 octobre 2019, Paris) : Attaque au couteau mortelle.
Anthony Lancelot (3 octobre 2019, Paris) : Attaque au couteau mortelle.
Aurélie Langelin (3 octobre 2019, Paris) : Attaque au couteau mortelle.
Brice Le Mescam (3 octobre 2019, Paris) : Attaque au couteau mortelle.
Unnamed victim (3 janvier 2020, Villejuif) : Attaque au couteau mortelle.
Samuel Paty (16 octobre 2020, Conflans-Sainte-Honorine) : Décapitation, attaque au couteau mortelle.
Simone Barreto Silva (29 octobre 2020, Nice) : Égorgement, attaque au couteau mortelle.
Nadine Devillers (29 octobre 2020, Nice) : Égorgement, attaque au couteau mortelle.
Vincent Loquès (29 octobre 2020, Nice) : Attaque au couteau mortelle.
Alban Gervaise (19 mai 2022, Cholet) : Attaque au couteau mortelle.
Lola Daviet (14 octobre 2022, Paris) : Meurtre, possible enlèvement.
Maggy Biskupski (2022, Cavaillon) : Meurtre, attaque au couteau mortelle.
Carène Mézino (22 mai 2023, Reims) : Attaque au couteau mortelle.
Dominique Bernard (13 octobre 2023, Arras) : Attaque au couteau mortelle.
Thomas Perotto (19 novembre 2023, Crépol) : Attaque au couteau mortelle.
Matisse Y. (27 avril 2024, Châteauroux) : Attaque au couteau mortelle.
Philippine Le Noir de Carlan (20 septembre 2024, Paris) : Meurtre, possible viol.
Unnamed rugbyman (31 octobre 2024, Valence) : Meurtre par arme à feu (fusillade).
Élias B. (24 janvier 2025, Paris) : Attaque à la machette mortelle.
Enzo Lainé (28 novembre 2024, Bethon) : Attaque au couteau mortelle.
Unnamed teenage girl (24 avril 2025, Nantes) : Attaque au couteau mortelle.
Mélanie G. (10 juin 2025, Nogent, Haute-Marne) : Attaque au couteau mortelle.
Goult (22 juin 2025) : Une mariée de 27 ans et un assaillant tués lors d’une fusillade à la fin d’un mariage, avec le marié et un enfant de 13 ans blessés gravement Meurtre par arme à feu (fusillade).
Goult (22 juin 2025, Goult) : Meurtre par arme à feu (fusillade).
Fusillade (22 juin 2025, Avignon CAP SUD) : Meurtre par arme à feu (fusillade).
Un homme égorgé (21 juin 2025, Pont-l’Abbé) : Attaque au couteau (non mortelle, égorgement, victime sortie d’affaire).
Nantes (24 avril 2025) : Une adolescente tuée au lycée privé Notre-Dame-de-Toutes-Aides par un élève de 16 ans. Aucune source (Ouest-France, Le Figaro, ou autres) ne mentionne le nom de la victime, probablement en raison de restrictions judiciaires liées à son statut de mineure et à l’enquête en cours.
De Samuel Paty à Mélanie G., combien de vies devront encore être brisées ?
A QUI LE TOUR ?
Cette liste, loin d’être exhaustive, illustre une réalité alarmante. Des victimes de tous âges, dans des écoles, des hôpitaux, des lieux publics, tombent sous les coups de couteaux, de machettes ou d’armes à feu. Les incidents récents à Goult, Avignon, et Pont-l’Abbé (juin 2025) montrent que la violence ne faiblit pas, malgré les promesses répétées des autorités.
Des décideurs déconnectés ?
Les Français méritent une justice ferme
Les citoyens ont le droit de s’interroger : où sont les juges, les ministres, les présidents, les députés, les sénateurs, les conseillers et les hauts fonctionnaires ? Ces responsables, grassement rémunérés par l’argent du contribuable, semblent souvent déconnectés des réalités vécues par les Français. Les décisions judiciaires, comme la déclaration d’irresponsabilité pénale dans l’affaire de Carène Mézino, ou les peines jugées trop légères, comme les huit ans de prison pour le meurtre de Matisse, alimentent l'idée d’impunité. Les politiques, de leur côté, multiplient les discours sans que des mesures concrètes ne stoppent cette spirale de violence.
Les "sages" du Conseil constitutionnel, les hauts fonctionnaires, et les élus en conseils divers doivent-ils continuer à agir sans rendre de comptes ? Chaque drame – de l’assassinat de Samuel Paty à celui de Mélanie G. – met en lumière des failles : manque de moyens pour la police, laxisme judiciaire, politiques sécuritaires inefficaces. Les Français méritent des réponses claires et des actions fermes.
Vers une mise en cause des responsables.
Il ne s’agit pas de pointer du doigt sans nuance, mais de demander une responsabilité collective. Les juges doivent garantir des verdicts justes, dissuasifs et en être tenus responsables. Les politiciens, des ministres aux parlementaires, doivent proposer des lois et des budgets qui protègent réellement les citoyens. Les hauts fonctionnaires et conseillers, souvent à l’abri des projecteurs, doivent cesser de se cacher derrière des rapports inutiles. Chaque décision catastrophique – ou absence de décision – a un coût humain, comme le montrent les noms gravés dans cette liste tragique. Tous doivent être tenus responsables et rendre des comptes!
Et maintenant ?
La France ne peut plus se contenter de minutes de silence, de commémorations et de promesses vides. Les citoyens doivent exiger que ceux qui dirigent rendent des comptes. Chaque drame est un appel à l’action : renforcer la sécurité dans les écoles, les hôpitaux, les rues ; durcir les sanctions contre les actes violents ; et repenser un système qui semble parfois protéger les coupables plus que les victimes.
Il est temps d’exiger des comptes : chaque drame est un échec des juges et des politiciens.
Que pensez-vous ? Les responsables doivent-ils être tenus pour comptables de ces drames ? Partagez votre avis dans les commentaires et rejoignez le débat.
Comments