Art contemporain dégénéré : le scandale des milliards dilapidés par le ministère de la Culture
- Arson

- 5 mars
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : il y a 6 jours
Quand le ministère de la Culture finance l’absurde
Le ministère de la Culture consacre chaque année 4,5 milliards d’euros à des structures comme les FRAC, CRAC, CAC, censées soutenir l’art contemporain.
Mais ce financement massif soulève une question fondamentale : où passe réellement l’argent public ?
Les œuvres financées ressemblent souvent à de simples barres de ferraille, chaises renversées ou tas de cailloux, que le jargon culturel transforme en “avant-garde”.
L’art contemporain institutionnel : un dispositif snobinard
Les œuvres absurdes financées
Des installations invraisemblables, souvent dépourvues de sens apparent, nécessitent des discours pseudo-intellectuels pour obtenir une légitimité.
Le public est prié de trouver génial ce qui n’est parfois qu’un tas de déchets industriels, et Google lui-même se perd : la recherche de “sculpture contemporaine” propose parfois “aire de jeux pour enfants”.
Le rôle des conservateurs
Autrefois passeurs de culture, les conservateurs deviennent des vendeurs de vent.
Leur mission : expliquer pourquoi un objet vide ou grotesque serait une critique profonde de la société. Sans eux, ces œuvres n’existeraient tout simplement pas.
Quand l’argent public nourrit la provocation et le buzz
Les écoles d’art financées par l’État encouragent l’art de la provocation décadente.
Résultat : un univers artistique centré sur le narcissisme et la transgression, où choquer compte plus que créer.Le buzz prime sur le talent, et les œuvres sont souvent inaccessibles au grand public, réservées à une élite qui se congratule elle-même.
Une élite culturelle déconnectée
Entre mondanités et cooptation
Le scandale ne se limite pas aux œuvres :
Les FRAC, CRAC et CAC forment un cercle fermé,
Les commissaires choisissent toujours les mêmes artistes,
Le public est exclu d’un art qu’il devrait comprendre et apprécier.
Cette élite artistique est déconnectée du grand public, et l’argent public est gaspillé pour des œuvres qui n’élèvent ni la culture ni l’esprit.
4,5 milliards pour ça : un incroyable détournement de mission culturelle
Alors que d’autres secteurs culturels — patrimoine historique, arts classiques, artistes émergents talentueux — manquent de moyens, l’État finance des installations absurdes, performances vides et œuvres provocantes sans valeur réelle.
Le public se voit imposer un art qui méprise le sens et l’intelligence, au nom d’un prestige pseudo-culturel.
Pour un retour au bon sens : Rachida Dati, au secours!
Il est temps de réformer profondément le financement public de l’art contemporain.
Les FRAC, CRAC et CAC doivent soutenir des œuvres qui :
élèvent le public,
transmettent un savoir-faire,
génèrent émotion et réflexion,
apportent une réelle valeur artistique.
Les barres de ferraille et discours creux doivent laisser la place à un art qui inspire et élève.
Je propose de compléter "l'œuvre de Mac Carty avec cette magnifique image










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