La peine de mort en France toujours en vigueur, mais dans nos rues
- Arson

- il y a 17 heures
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Ce que vivent aujourd’hui de nombreux Français n’est pas le fruit du hasard, mais celui de choix répétés d’irresponsables politiques. En renonçant à protéger, en minimisant, en détournant le regard, ces dirigeants ont progressivement abandonné les Français à leurs criminels. Il ne s’agit plus d’échec, mais d’un abandon organisé, où la sécurité du peuple a été sacrifiée au profit du confort du pouvoir et du calcul électoral.
Samuel Patty et Dominique Bernard, Victimes de la peine de mort Républicaine

La peine de mort tue les innocents : la justice excuse les coupables, les politiques détournent le regard
La peine de mort n’a pas disparu : elle a changé de forme. En France, elle ne se prononce plus dans les tribunaux, mais s’exécute en silence dans nos rues, par l’abandon, l’indifférence et l’effacement des plus fragiles.
De l’abolition de la peine de mort officielle… A une exécution quotidienne
En 1981, la France abolissait la peine de mort. Un geste fort, porté par Robert Badinter, au nom de l’humanisme et du progrès. Mais quarante ans plus tard, la mort rôde toujours, non plus dans les tribunaux, mais dans les halls d’immeubles, les rames de métro, les écoles, les places publiques. Et ce ne sont plus des criminels condamnés qui tombent, mais des citoyens innocents, frappés au hasard d’une violence devenue banale.

Une justice qui excuse, un État qui s'en moque
La justice française n’est pas impuissante. Elle est idéologiquement désorientée. Elle excuse, contextualise, relativise. Elle cherche des circonstances atténuantes à ceux qui poignardent, violent, agressent. Pendant ce temps, les victimes sont réduites au silence, leurs familles abandonnées à leur douleur, et les récidivistes remis en liberté au nom de principes déconnectés du réel. Merci Badinter!
Responsables, coupables des peines de mort infligées aux Français
Le président Macron, comme ses prédécesseurs, refuse de nommer les causes profondes : immigration incontrôlée, désintégration sociale, narcotrafic, islamisme rampant. Il préfère parler de « sentiment d’insécurité » pendant que la France se couvre de zones de non-droit.

Macron, complice sous chantage, de Tebboune
L’Algérie, la haine importée et la complaisance diplomatique.
Comment ne pas évoquer le rôle de certains pays comme l’Algérie, qui refusent de reprendre leurs ressortissants délinquants, tout en laissant prospérer un discours de haine envers la France ? Cette hostilité alimente une fracture identitaire au sein de la diaspora, dont une partie rejette désormais les valeurs françaises, parfois violemment.
Et que fait l’État ? Il cède, négocie, recule, au lieu d’imposer des conditions fermes. Il préfère brider la parole des Français que d’exiger le respect de la République.
Dans nos rues, une peine de mort sans procès, sans défense, sans justice
Aujourd’hui, la peine capitale est appliquée sans jugement aux innocents Français. Elle frappe dans le dos, au hasard, sans procès ni appel dans nos rues. Elle tue des enfants, des profs, des curés, des gamines, des jeunes gens, des femmes, des hommes, des retraités, des policiers, des gens sans histoires. Elle s’appelle agression gratuite, règlement de compte, attaque au couteau, tir de kalachnikov. Ces meurtres prospèrent dans l’indifférence des élites.

Macron réveille-toi, sauve ton mandat en t'occupant des Français, enfin!
Ce billet n’est pas un appel à la haine. C’est un appel à la lucidité.
Il est temps de rompre avec le déni, de restaurer l’autorité de l’État, de protéger les innocents avant de plaindre les coupables. Il est temps de cesser de confondre humanisme et faiblesse, justice et laxisme, République et renoncement.
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• alt="Scène de violence urbaine en France"
• alt="Portrait d’Emmanuel Macron en conférence"
• alt="Graffiti dénonçant le laxisme judiciaire"
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• alt="Manifestation contre l’insécurité"
• alt="Balance de la justice dans un tribunal français"



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