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Le jeune juge incapable, La justice Française défaillante en cause.

Dernière mise à jour : il y a 1 jour

Les juges incapables doivent être jugés et punis

La Justice est Défaillante. Comment une justice algorithmique surmonte les juges humains incapables et corrompus, élimine les biais et génère des économies pour un système judiciaire équitable.

Illustration satirique d’un juge en robe noire, brandissant un marteau de justice surdimensionné pour frappé un prévenu. L’image exagère de manière critique le pouvoir et l’arbitraire attribués à certains juges.
Le jeune juge d'Avignon incapable et malhonnête

Des juges en France, incapables, corrompus, laxistes et idéologues, se permettent de "juger" alors qu'ils ne sont que des êtres ordinaires et absolument pas irréprochables.


Une justice biaisée par l’humain.

En France, les juges, souvent qualifiés d’incapables, corrompus ou laxistes, sont avant tout des êtres humains ordinaires, loin de l’image idéale du magistrat impartial, il conserve ses privilèges et son autorité disproportionnée. 

Leur autorité, bien que respectée, repose sur une application de la loi influencée par leurs humeurs, idéologies, croyances et préjugés personnels. Ce constat remet en question l’idée même de justice, car celle-ci ne s’apprend pas véritablement à l’école : on y enseigne des lois, mais leur interprétation semble dépendre de facteurs subjectifs, parfois triviaux, qui éloignent les juges d’une véritable équité.


L’arbitraire du jugement, le juge, figure d’autorité, impose sa vérité sans toujours tenir compte des témoignages ou des faits présentés.

Trop souvent, le Jeune juge entérine des décisions sans approfondir les dossiers, comme s’il était encore en apprentissage. 

Cette superficialité dans l’arbitrage conduit à des jugements hâtifs, parfois influencés par des pressions extérieures ou des mensonges non vérifiés. Loin de chercher la sévérité ou l’éclairage, certains juges se contentent de boucler les affaires, au mépris d’une analyse rigoureuse, discréditant ainsi la confiance en la justice.


L’impunité des juges.

Le jeune juge d'Avignon, convaincu de son exemplarité, rend des décisions parfois iniques, mais reste protégé par son statut. Peu importe la qualité de ses jugements, il est félicité par ses pairs pour avoir « liquidé » les dossiers. Cette course à la productivité, au détriment de la vertu, lui assure une carrière confortable, voire une promotion.


Personne ne demande aux juges une justice juste et équitable (à part les victimes), personne ne vérifie leurs décisions, rarement châtiés les juges sont impunis et "irresponsables".

Le juge, à fortiori le président du tribunal, soutenu par des syndicats et décoré comme un « Républicain intouchable », il échappe à toute censure, renforçant l’image d’une justice déconnectée des attentes de vérité et d’équité.

Un système qui récompense la médiocrité de la justice.

Malgré les critiques du public, qui perçoit souvent les juges comme corrompus ou incompétents, le système judiciaire continue de promouvoir ces magistrats. Médailles, reconnaissance et avancements viennent couronner des carrières, même lorsque les décisions rendues sèment le doute. Pendant que le « prolétariat » dénonce cette justice biaisée, les juges, fiers de leur métier, semblent intouchables. Ce paradoxe souligne un problème structurel : un système qui valorise la conformité et la rapidité plutôt que l’intégrité et la rigueur, au détriment d’une justice véritablement juste.


Virer les juges humains, pour une justice indépendante.


Une justice automatisée pour plus d’équité.

Face aux dérives des juges humains, influencés par leurs biais, humeurs et idéologies, voir le copinage et la corruption, une justice codifiée par des algorithmes pourrait offrir une alternative plus impartiale, indépendante et sincère. 

En remplaçant les magistrats par des systèmes algorithmiques rigoureusement programmés, basés sur des données objectives et des règles transparentes, on éliminerait les jugements arbitraires et les influences personnelles. Une telle approche, bien que nécessitant une conception éthique et une supervision rigoureuse pour éviter les biais technologiques, permettrait de garantir une application cohérente de la loi, débarrassée des faiblesses humaines, pour une justice véritablement équitable et prévisible.


Une Justice défaillante


Petit poème pour ce trou du cul de Le jeune juge à Avignon

Un juge est un personnage

Important, il est respecté,

Il fait de son autorité

Et quel que soit son âge,

Ce qui sera, LA vérité.

Peu importe les témoignages,

Il appliquera, non pas sévérité,

Pas même un éclairage,

Simplement entériné,

Les mensonges du voisinage

Sans peur de discréditer,

Comme en apprentissage,

N’ayant eu le temps d’étudié,

Pour un bon arbitrage,

Le dossier présenté.

Le genre à qui on rend hommage.

Le Jeune juge, son "jugement" rendu,

D’une décision inique (ta mère),

Sera convaincu

D’avoir été exemplaire.

Peu lui chaut pour ses attributs

Par devant ses pairs,

Puisqu’il a conclu

Liquider les affaires,

Bouclé les dossiers, trouvé une issue.

Il gardera sa chaire

Même au prix de la vertu,

Pour en être félicité et devenir populaire.

Un juge n’est pas responsable,

Surtout pas le Jeune Juge.

En tant que Président remarquable,

Il ne peut être censuré,

C’est un Républicain décoré, un intouchable.

La justice est rendue,

Il est payé pour ça.

Il est fier de lui, mais triste individu,

Fait un beau métier, mais fait comme ça

Ne sera pas retenu,

Comme un bon magistrat.

Bien qu’ils soient tous soutenus

Par leurs syndicats,

Il sera même promu

Pour un plus grand consulat.

Il aura des médailles et sera reconnu,

Pendant que le prolétariat

Le pensera corrompu.


Pour la Disparition des Juges !


Vers la fin des juges humains.

L’élimination des juges humains au profit d’une justice automatisée par des algorithmes marquerait la fin d’un système gangréné par les biais, les caprices et les abus de pouvoir.


En remplaçant les magistrats par des systèmes informatiques impartiaux, programmés pour appliquer la loi de manière ferme, objective et transparente, sans corruption, la justice gagnerait en équité et en cohérence. 

La fin des juges, de colossales économies.

De surcroît, cette transition engendrerait des économies colossales :

suppression des salaires élevés, des avantages sociaux, des formations coûteuses et des infrastructures liées aux juges humains, comme les bureaux et les cérémonies honorifiques. 

Les ressources ainsi libérées pourraient être réinvesties dans l’amélioration des algorithmes et l’accès à la justice pour tous, rendant le système non seulement plus juste, mais aussi financièrement soutenable.


Abolir l’immunité et le statut privilégié des juges par la loi.

L’immunité juridique et le statut privilégié des juges, qui les protègent de toute responsabilité, doivent être supprimés par la loi. 

Une réforme législative mettant fin à ces protections garantirait que les juges répondent de leurs actes comme tout citoyen. En instaurant une justice algorithmique, encadrée par des lois strictes, les décisions seraient impartiales et transparentes, éliminant les privilèges indus et restaurant l’équité dans le système judiciaire.


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