Le corps Féminin comme manifeste sculptural Les Esculmaux : œuvres fessières à haute teneur subversive. Ni fétiches, ni blagues, mais des revendications moulées dans la chair. Anatomie revendiquée : chaque fesse dit, “je suis là”. Arson les érige comme des slogans en volume, comme une grammaire du scandale. “Chaque fesse sculptée est un micro manifeste. Et chaque spectateur est invité à l’entendre — même en rougissant.”

Le corps féminin n’est plus objet — il devient sujet. Fini le temps où les courbes servaient de toile de fond à la fantaisie masculine. Aujourd’hui, des artistes comme ORLAN, Jenny Saville ou la française Miss Tic s’emparent du corps pour le détourner, le déformer, le faire parler. Le sculpteur Arson, lui, confère aux formes une parole insoupçonnée : il détourne le regard convenu vers des fesses qui osent dire, rire, provoquer — une grammaire nouvelle sculptée dans la mati

💥 Un style sculptural original, provocant et incorrect. Dans mes créations, pas de barbouillage facile ni de dégoulinades émotionnelles. Je refuse les tendances mainstream, les logos célèbres et les répliques vues cent fois. Mes sculptures sont originales, disruptives et provocantes, parfois impertinentes, toujours assumées. Elles célèbrent les formes féminines, notamment les fesses, non pour flatter l’œil, mais pour donner du sens : redonner une voix au corps, réinventer le